Baskerville 10. Baal / Les Amantes du Diable

Renée Dunan
Baskerville 10. Baal, ou La Magicienne passionnée, livre des ensorcellements
suivi de
Les Amantes du Diable - 1550
ISBN-13: 978-1-61227-138-5
268 pages
Introduction et Notes de Brian Stableford.

illustration Yoz

"Ainsi Baal règne, car c'est lui qui commande au vice, et, le récompensant d'un plaisir, le rend immortel."

Deux romans sorciers de Renée Dunan, réunis par-delà les siècles grâce à l'érudition de Brian Stableford.

Dans Baal, c'est Palmyre, une sorcière des années folles, qui mène la danse, au risque d'invoquer des créatures lovecraftiennes avant la lettre. Et dans Les Amantes du diable, c'est Babet, une humble paysanne de la Renaissance, qui découvre dans le sabbat un moyen d'améliorer sa condition.

Érudition, malice et sensualité : un cocktail sulfureux concocté par une grande dame du second rayon, une prêtresse de l'érotisme et du fantastique que l'on n'a pas fini de redécouvrir.

"Un essai particulièrement réussi d'allier la science-fiction aux doctrines ésotériques, alchimie, métapsychie, etc." Pierre Versins, à propos de Baal.

Femme de lettres très active en son temps, Renée Dunan (1892-1936) a laissé une œuvre abondante, surtout dans le registre de l'érotisme. Mais elle s'illustra également dans la science-fiction et le roman policier. Infatigable chercheur de trésors conjecturaux, Brian Stableford nous présente ces deux livres et jette de nouvelles lueurs sur la biographie de leur auteur.

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Ils ont écrit...

" la sortie de l’oubli de cette auteure tout sauf mineure qu’est Renée Dunan mérité d’être saluée à sa juste valeur."
Maestro
Wagoo

Un livre que je recommande donc principalement à ceux qui aiment les intrigues complexes, le fantastique tournant autour des croyances sataniques et à ceux qui souhaitent découvrir des histoires écrites à des époques passées, avec le style et les croyances qui y sont liées.
Lire ou Mourir

L'amateur de fantastique, auquel s'adresse ce livre, trouvera par contre la preuve que le genre n'est pas seulement une affaire anglo-saxonne. Renée Dunan apporte la preuve que la France, ce pays cartésien jugé impropre au développement des littératures de l'imaginaire, a abrité en son sein une littérature fantastique autochtone.
Sylvain Bonnet
PhenixWeb